Instance de démocratie souvent mal connue dans chaque lycée, les conseils de la vie lycéenne (CVL) comprennent 10 lycéens, dont 7 élus pour deux ans par l'ensemble des élèves.
Les élus ont pour mission de relayer "idées et préoccupations" des lycéens "auprès des autres membres du Conseil (chef d'établissement, enseignants, CPE, surveillants, personnels administratifs, sociaux et de santé, parents d'élèves). Sur quels sujets ? "l'orientation, la santé, les activités sportives, l'organisation du travail", précise le site internet du ministère (www.vie-lycenne.education.fr).
Par la suite, les élus de tous les établissements choisiront parmi eux ceux qui représenteront les lycéens dans chaque académie pour siéger au Conseil académique de la vie lycéenne (CAVL). Les élus académiques éliront ensuite parmi eux ceux qui porteront la voix des lycéens auprès du ministre de l'Education au sein du Conseil national de la vie lycéenne (CNVL), instance de dialogue entre le ministre Xavier Darcos et les lycéens.
Les élus ont pour mission de relayer "idées et préoccupations" des lycéens "auprès des autres membres du Conseil (chef d'établissement, enseignants, CPE, surveillants, personnels administratifs, sociaux et de santé, parents d'élèves). Sur quels sujets ? "l'orientation, la santé, les activités sportives, l'organisation du travail", précise le site internet du ministère (www.vie-lycenne.education.fr).
Par la suite, les élus de tous les établissements choisiront parmi eux ceux qui représenteront les lycéens dans chaque académie pour siéger au Conseil académique de la vie lycéenne (CAVL). Les élus académiques éliront ensuite parmi eux ceux qui porteront la voix des lycéens auprès du ministre de l'Education au sein du Conseil national de la vie lycéenne (CNVL), instance de dialogue entre le ministre Xavier Darcos et les lycéens.
Objectif d'année : discuter de la réforme du lycée
Nouveauté cette année : quelque 600 des 2 000 nouveaux élus lycéens seront réunis à Paris début novembre au ministère pour discuter de la réforme du lycée, qui doit se mettre en place entre la rentrée 2009 et la rentrée 2011. L'enjeu est donc particulièrement important, d'autant que cette réforme doit entrer en vigueur dès la rentrée prochaine pour la classe de seconde.
Alors que la réforme avait jusque-là fait l'unanimité, un syndicat enseignant a quitté la table des négociations la semaine dernière pour des questions de réductions d'horaires : le ministère veut en effet réduire la part des cours magistraux et à la place, multiplier les choix d'options et les heures de soutien et de travail personnel. Du pain sur la planche en perspective pour les futurs élus lycéens.
Alors que la réforme avait jusque-là fait l'unanimité, un syndicat enseignant a quitté la table des négociations la semaine dernière pour des questions de réductions d'horaires : le ministère veut en effet réduire la part des cours magistraux et à la place, multiplier les choix d'options et les heures de soutien et de travail personnel. Du pain sur la planche en perspective pour les futurs élus lycéens.