En janvier 2014, Webforce3 ouvrait sa première session à la Cité Internationale des Arts à Paris, dans le 4ème, pour une quinzaine de jeunes.
Neuf mois plus tard, ces premiers étudiants ont tous un emploi et une troisième promo est sur les rails. Il a même fallu refuser des candidats si bien qu'un autre site parisien, une deuxième Webforce3 vient d'ouvrir dans le 10ème arrondissement, au bord du Canal Saint-Martin.
Le succès de la formation est simple : "En France, les entreprises du numérique manquent cruellement de techniciens pour développer leurs sites web. Et en face, il y a des quantité d'étudiants décrocheurs qui après leur bac n'ont pas trouvé leur voie. Avec Webforce3, nous avons voulu créer une formation très pragmatique pour leur permettre de se rencontrer", explique Alain Assouline, fondateur de Webforce3.
L'ouverture d'un deuxième site parisien veut répondre à la demande particulièrement forte de développeurs en Ile-de-France mais plusieurs régions ont initié des démarches pour ouvrir prochainement leur école Webforce3.
Neuf mois plus tard, ces premiers étudiants ont tous un emploi et une troisième promo est sur les rails. Il a même fallu refuser des candidats si bien qu'un autre site parisien, une deuxième Webforce3 vient d'ouvrir dans le 10ème arrondissement, au bord du Canal Saint-Martin.
Le succès de la formation est simple : "En France, les entreprises du numérique manquent cruellement de techniciens pour développer leurs sites web. Et en face, il y a des quantité d'étudiants décrocheurs qui après leur bac n'ont pas trouvé leur voie. Avec Webforce3, nous avons voulu créer une formation très pragmatique pour leur permettre de se rencontrer", explique Alain Assouline, fondateur de Webforce3.
L'ouverture d'un deuxième site parisien veut répondre à la demande particulièrement forte de développeurs en Ile-de-France mais plusieurs régions ont initié des démarches pour ouvrir prochainement leur école Webforce3.
Une formation courte mais intensive et orientée emploi
Comparé à d'autres formations ou écoles des métiers du web, Webforce3 a fait un choix original : la formation est ultra-courte et intensive. Elle comporte 490 heures de formation suivies de deux semaines durant lesquelles l'étudiant développe un projet. Pas d'alternance mais des cours dispensés par des développeurs qui ont par ailleurs une activité professionnelle.
"Je me suis dit que des étudiants décrocheurs n'auraient pas le courage ou l'envie de repartir pour deux ans d'école, explique Alain Assouline, mais que l'idée d'apprendre un métier en trois mois et demi pouvait les motiver".
D'autant que le challenge est de se former directement pour l'emploi. A la sortie, les offres d'emploi ne manquent pas comme le prouve le placement des premiers étudiants. "Les entreprises du numérique n'ont pas tant besoin d'ingénieurs longuement formés que de techniciens capables de monter rapidement et correctement un site", explique Alain Assouline, qui dirige lui-même l’agence digitale Les Argonautes.
Certes, reconnaît-il, "il faut s'accrocher", pour avaler en quelques semaines l'apprentissage du HTML5, du JavaScript, Jquery, Ajax... Mais on ne compte pas plus d'un à deux abandons par promotion.
"Je me suis dit que des étudiants décrocheurs n'auraient pas le courage ou l'envie de repartir pour deux ans d'école, explique Alain Assouline, mais que l'idée d'apprendre un métier en trois mois et demi pouvait les motiver".
D'autant que le challenge est de se former directement pour l'emploi. A la sortie, les offres d'emploi ne manquent pas comme le prouve le placement des premiers étudiants. "Les entreprises du numérique n'ont pas tant besoin d'ingénieurs longuement formés que de techniciens capables de monter rapidement et correctement un site", explique Alain Assouline, qui dirige lui-même l’agence digitale Les Argonautes.
Certes, reconnaît-il, "il faut s'accrocher", pour avaler en quelques semaines l'apprentissage du HTML5, du JavaScript, Jquery, Ajax... Mais on ne compte pas plus d'un à deux abandons par promotion.
Une formation pour qui ?
Au départ, Webforce3 vise plutôt les bacheliers décrocheurs qui cherchent leur voie. Mais les premières promotions ont aussi accueilli des personnes en reconversion, un lycéen en phobie scolaire, une diplômée bac+5 qui voulait "apprendre un vrai métier", etc.
En fait, c'est la motivation pour l'univers du web et le métier de développeur qui compte.
Un test de sélection simple vérifie aussi que les candidats ont un minimum de culture numérique et quelques capacités d'abstraction.
D'un point de vue pratique, la formation coûte 3300 euros, mais elle peut être prise en charge par divers dispositifs (Pôle Emploi, etc.). Un système de prêt étudiant est aussi mis en place.
WebForce3 est une association constituée par un groupe de dirigeants du numérique appartenant au syndicat professionnel Syntec Informatique.
Pour en savoir plus :
Webforce3 organise régulièrement des réunions d'information
Voir aussi la page Facebook
En fait, c'est la motivation pour l'univers du web et le métier de développeur qui compte.
Un test de sélection simple vérifie aussi que les candidats ont un minimum de culture numérique et quelques capacités d'abstraction.
D'un point de vue pratique, la formation coûte 3300 euros, mais elle peut être prise en charge par divers dispositifs (Pôle Emploi, etc.). Un système de prêt étudiant est aussi mis en place.
WebForce3 est une association constituée par un groupe de dirigeants du numérique appartenant au syndicat professionnel Syntec Informatique.
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