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Mal-être, déprime : comment s'en sortir ?



Les jeunes ne sont pas épargnés par la déprime ou les idées noires. L'adolescence est même une période de grande fragilité, mais on peut sortir en se faisant aider. Rencontre avec Thérèse Hannier, présidente et fondatrice de l'association Phare qui fait de la prévention contre le mal-être et le suicide.




Mal-être, déprime : comment s'en sortir ?

Comment vont les jeunes que vous rencontrez aujourd’hui ?

Thérèse Hannier a fondé Phare Enfants-Parents.
Thérèse Hannier a fondé Phare Enfants-Parents.
Thérèse Hannier : "Nous constatons de plus en plus de situations de mal-être chez les jeunes et de plus en plus tôt. Certains nous disent : "j'ai envie de mourir...". Comme d'autres associations, nous mettons donc l'accent sur la prévention : c'est un sujet dont il ne faut pas avoir peur de parler. Nous allons dans les lycées et nous aidons aussi des parents à accompagner leurs adolescents lorsqu'ils ne vont pas bien.

Grâce à toutes ces actions, on observe une diminution du nombre des suicides depuis 15 ans. Cela montre qu'on peut s'en sortir : dès lors qu'un jeune accepte de ne pas s'isoler dans sa souffrance et de se faire accompagner, il peut aller mieux".

Qui sont ceux qui sont en difficulté : y a-t-il un profil type ?

"Pas vraiment, il n’y a pas de profil type. En fait, personne n’est à l’abri. N’importe quel jeune, quel que soit son milieu, peut être touché dès lors qu’il a une profonde blessure. On peut tout de même regrouper ceux qui sont en grande difficulté en 4 catégories :

D'abord, ceux qui souffrent de pathologies telles que les troubles mentaux, les toxicomanies, l'anorexie-boulimie, la schizophrénie, les maniaco-dépressifs, les psychoses, les phobies scolaires, les dépressions…

Ensuite, il y a les "blessés de la vie" : ce sont ceux qui ont subi des violences (abandon, agressions, maltraitance, attouchements sexuels, viols…) ou des traumatismes liés à des situations difficiles à vivre tel un divorce des parents ou un deuil. Mais une simple rupture sentimentale mal vécue peut aussi déclencher un profond mal-être."

La troisième catégorie concerne ceux qui ont tout pour être heureux : ce sont ceux ne présentent aucun "symptôme" visible.

On peut avoir tout pour être heureux et être mal à l'intérieur ?

Mal-être, déprime : comment s'en sortir ?
Oui. Mais si l’on y regarde de plus près, la plupart de ceux qui ressentent cela ont une très forte sensibilité. Le malheur des autres, voire les grandes souffrances dans le monde les touchent tout spécialement. Leur générosité est sans limite : il leur manque une forme de distance.

Chez certains aussi, il pourrait y avoir un lien avec une précocité intellectuelle, car ils présentent souvent un cursus scolaire parfait. Ils sont idéalistes et perfectionnistes, d’où une déception et un sentiment d’impuissance de ne pouvoir rendre le monde meilleur. Pour eux, en étant averti et très attentif, on peut éventuellement percevoir des signaux d'alerte.

Ce n'est pas le cas de la quatrième catégorie par contre, qui rassemble les victimes du suicide impulsif ou "raptus", ceux qui ont une pulsion de mort fulgurante, sans aucun symptôme ni signe pouvant alerter. Quand il y a suicide dans ce cas là, il s’agit, la plupart du temps, d’une mort violente.

Cependant tous ces jeunes, quel que soit leur problème, ont un point commun : ils sont fragiles et vulnérables.

Y a-t-il un âge ou des moments où l'on est plus fragile ?

En tout état de cause, le moment le plus délicat est la période charnière de 14 à 20 ans, car il y a un virage à prendre pour passer de l’enfance à l'âge adulte. C'est un passage nécessaire mais aussi une période de plus grande vulnérabilité. On doit faire des choix pour sa vie, construire sa personnalité, et en même temps se détacher de la dépendance affective des parents. Cette transition se passe bien si l'on peut avoir de bonnes relations avec ses proches.

Nous recevons aussi de plus en plus de messages de collégiens de 12 à 14 ans. L'entrée en sixième les fragilise énormément, ils subissent des insultes, des moqueries, ils se sentent harcelés et ils ont tendance à garder cela pour eux. Certains ne veulent plus aller à l'école.

Que dites-vous à ces collégiens ?

L'attitude à avoir, c'est de ne pas rester seul. Il faut se révolter, en parler à ses parents, au CPE, et faire en sorte que les parents puissent rencontrer le CPE. Le harcèlement est un délit, c'est une erreur de penser qu'on peut s'en sortir seul.

Nous incitons surtout les parents à agir, toujours avec l'adhésion de leur enfant : il faut aller voir le chef d'établissement et s'il n'y a pas d'amélioration changer d'établissement ou parfois essayer une année par correspondance.

Mais le plus important, même si le harcèlement s'arrête, c'est que le jeune soit accompagné par un psychologue pour qu'il reprenne confiance en lui. Sinon les blessures restent, et cela crée des vulnérabilités qui peuvent entraîner ensuite un profond mal-être.

Quels sont les symptômes qui montrent qu'on ne va pas bien ou qu'un ami ne va pas bien ?

Mal-être, déprime : comment s'en sortir ?
Cela va des premiers signes pas forcément très alarmants et pouvant être mis sur le compte de l’adolescence où l'on tente de "couper le cordon" parfois brutalement avec ses parents, à des symptômes plus graves et plus significatifs : on modifie ses relations avec son entourage, on est instable, on abandonne des activités habituelles ou celles qu'on aimait avant, on s'isole, on reste enfermé dans sa chambre, on est nerveux, irritable, violent parfois…

L'adolescence, c’est l’impulsivité, c'est "tout, tout de suite". Mais attention à la susceptibilité exacerbée. Selon les personnes, on peut aussi souffrir de troubles du sommeil et de l’appétit, de difficultés à communiquer jusqu'à s'enfermer dans le mutisme.
 
Les addictions ou les conduites à risque sont le signe qu'on ne va pas bien.

Chez d'autres, il y a un émoussement affectif : tout passe sur vous, on ne ressent plus de sentiment. Certains commencent à manquer les cours, ils décrochent sur le plan des études. D'autre fois, c'est une rupture amoureuse très douloureuse dont on ne se remet pas. Les addictions (tabac, cannabis, drogues, alcool, boulimie, jeux vidéos…) ou les conduites à risques sont aussi le signe qu'on ne va pas bien.


Mais lorsqu'on se sent triste ou déprimé, que peut-on faire ?

Le plus important est de pouvoir parler à quelqu'un. Les plus jeunes sont malheureusement souvent incapables de dire leur mal-être, et même de le percevoir. Ils sont dans le déni et la plupart du temps, ils n’ont plus d’accès à la parole.

Si c'est trop difficile de parler, on peut éventuellement écrire. Notre association a un numéro d'écoute qu'on peut appeler (01 43 46 00 62), mais beaucoup préfèrent nous contacter par mail à l'adresse vivre@phare.org 

Et si c’est un ami qui ne va pas bien, comment l’aider ?

Si vous percevez qu’un de vos amis va mal, vous devez absolument l’inciter à se faire aider.

Et si vous apprenez par une confidence qu'il pense mettre fin à ses jours, il ne faut absolument pas se taire, mais il faut alerter de façon efficace son entourage proche, ou un médecin, ou toute personne responsable susceptible de pouvoir intervenir afin d’éviter qu'il ne passe à l’acte.
Dans ce cas, il n’y a pas de secret à garder, puisqu’il y a une personne en danger. Au yeux de la loi, se taire constituerait une "non assistance à personne en danger".

Quels conseils simples donnez-vous à ceux qui ne vont pas bien ?

Nous conseillons plusieurs choses, parfois très simples : d'abord, il faut savoir prendre soin de soi : s'offrir des moments de plaisirs simples, seul et avec d’autres, c'est une bonne prévention.

Et puis, il est important d'avoir une vie sociale et des activités avec un groupe d'amis : ciné, sport, activité artistique, soirées entre copains peu importe. Attention quand même aux soirées défonce du samedi soir en bandes qui vont plutôt vous faire plonger plus bas…

Il est aussi important de cultiver la qualité de la relation dans sa famille, ses amis, ses relations amoureuses, son entourage. C'est un moment où l'on a besoin de se sentir aimé et encouragé.

Mais si l'on se sent vraiment mal et que rien de tout ça ne va bien ?

Si l'on sent qu'on ne va pas bien, il ne faut pas hésiter à consulter son médecin, un psychologue, ou se rendre dans un centre médico-psychopédagogique pour se faire aider par des professionnels. Quand on ne sait pas où aller, la première chose à faire est de parler à quelqu’un de son entourage en choisissant une personne en qui on a confiance et si possible avec qui on a un lien affectif.
"C'est votre souffrance que vous désirez supprimer, pas votre vie !"

Si vous voulez en finir, c'est votre souffrance que vous désirez supprimer pas votre vie ! Or il y a des moyens pour sortir de cette souffrance, souvent par l'accompagnement et parfois des traitements. La prise de médicaments anti-dépresseurs peut être une aide, mais une telle décision doit impérativement être prise avec l'aval d'un médecin.

On peut guérir de cet état de malaise ?

Oui, dès lors qu'on se fait accompagner, on peut en sortir. Car jusqu'au bout, même quand on va très mal, il y a toujours cette ambivalence : Je veux mourir mais en même temps je ne veux pas mourir, je veux vivre.

C'est sur ce désir de vie qu'il faut s'appuyer.

Pourquoi est-ce si important de ne pas rester seul(e) ?

Celui qui se sent mal pense qu'il est seul à ressentir cela, et cela le pousse à s'isoler davantage.

Alors qu'en réalité, on est souvent entouré d'autres jeunes vivant les mêmes difficultés. D'où l'intérêt de pouvoir se retrouver entre amis et de construire des relations sincères et durables permettant un partage.

En plus, cela apporte un soutien affectif que beaucoup ne souhaitent plus chercher auprès de leurs parents. Il faut donc surtout ne pas rester seul, afin que la jeunesse soit une période de construction et non de destruction de soi.

Contacter l'association Phare

Vous vous sentez mal ou vous voulez aider un de vos proches ? L'association Phare vous propose :

- Une ligne téléphonique d'écoute au 01 43 46 00 62. On peut vous écouter, ou vous orienter vers un réseau de professionnels aptes à vous apporter une aide appropriée.
- une adresse mail : vivre@phare.org ; n'hésitez pas à envoyer un message, l'association vous répondra.
- Un site Internet avec des adresses régionales et des brochures à télécharger : www.phare.org

Cet article a été remis à jour le 29 janvier 2016. Les commentaires antérieurs ont été conservés.

Mardi 4 Juin 2019
Propos recueillis par Armelle Nollet

Qu'en pensez-vous ?
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101.Posté par Laure le 11/10/2014 09:11 (depuis mobile)
Bonjour, depuis deux ans j''''en peux plus. Il y a sans arrêt des disputes entre mes amis et moi. J''''ai l''''impression d''''être une fille a problèmes. La cause de tout les problèmes. J''''ai changer plusieurs fois de groupe d''''amis. Mais a chaque fois, rejeter.

100.Posté par nicolas le 21/09/2014 13:12
vendredi j'ai pleuré en classe devant tout le monde ces derniers temps ca va pas fort en fait j'ai honte a en parlé mais je suis amoureux d'une fille et j'arrive pas a m'en débaraser

99.Posté par Elle le 13/09/2014 21:08
Bonsoir,
J'ai 23 ans, je passe souvent par des périodes ou psychologiquement "je souffre": je déprime, je me renferme sur moi même, je ne sors plus de chez moi, je ne répond pas au téléphone, je ne vais pas aux cours...etc je sombre, et je ressort à la surface quelques jours après, je ne sais pas comment (ça peut aller de 3 jours à 2 semaines).
En ce moment ça revient, j'ai changé de faculté pour mes études, je me sens seule, je n'arrive pas à communiquer avec les "camarades de classe" qui se connaissent tous quasiment. Je vais en cours, et quand c'est finis, je rentre chez moi comme un robot, le week-end des fois, mon copain vient me voir, ça fait du bien certe, mais je n'ai pas d"amis..je suis handicapée de la vie "sociale", c'est de pire en pire j'ai l'impression.

Je pense demander à voir un psychologue, car il y a plusieurs pistes à explorer à mon avis {deuil, séparation, tempérament..etc), je souhaite comprendre ce qu'il m'arrive, et comment changer ça!

Tenez bon! il y a FORCEMENT une solution pour s’en sortir..

98.Posté par Michèle Longour le 03/06/2014 16:36
@Lola

Il faut absolument que tu parles de ça à ceux qui sont autour de toi :
- ta famille, ceux avec qui tu vis en premier
- ton concierge ou gardien d'immeuble s'il y en a un
- au collège, le ou la CPE ou ton professeur principal
- En même temps, tu pourrais appeler le numéro Jeunes Violence Ecoute (0 808 807 700) qui est fait pour que les jeunes comme toi qui ont peur et qui sont victimes de violence, ou de racket ou de menace puissent appeler... On va te conseiller

Surtout, il ne faut pas garder cela pour toi ! Ce qu'ils font est interdit : c'est du racket. et si tu gardes ça pour toi, tu seras de plus en plus mal et terrorisée !
Surtout, parle !!! et reviens dire ici comment ça va.

97.Posté par Lola le 25/05/2014 13:01
Bonjour, Je m’appelle Lola et j’ai 14 ans, je suis en 3 ème Et quand j’ai vu tous vos commentaires sa ma donner envie de parler de on problème pour la 1ere fois à quelqu’un Sa a commencé un soir de semaine ordinaire ou je rentrais chez moi Quand un garçon un petit peu moin agees que moi est venu me parler Il essayer de me demander des sous je sais plus trop quoi, j’ai dit que je n’avais pas le temps alors je suis rentrer dans mon immeuble Je commençais à monter les escaliers quad j’entendais frapper dans le hall pour que je les ouvres et que je leurs donnes des sous. Je ne sais pas pourquoi mais ‘était énerver de ma journée (énervé contre tous le monde) alors sous le coup de la colère je leurs est fait un doit d’honneur. Le lendemain je les ai recroiser et ils étaient tous enervées contre moi. Sa doit faire maintenant qu’une petite semaine que c’est arriver mais pour moi c’est un imense cauchemarre que je n’arrive pas à me réveiller. Ils trainnent tous dehors jusqu’à 20h alors quand moi je rentre de chez moi en bus je m’arrete 2 arrêts lus loin, me cache derrière des buissons et passe par derrière. J’ai vraiment peur !!!! Je ne veut meme plus sortir de chez moi pour aller à mes activités extrascolaire et envie de tout arreter. Je me automutile, me trouve toujours des excuses, n’arrive plus à dormir et tremble toujours (même quand je suis chez moi), meme les moments ou je ne suis pas chez moi (ex: très loin) j’ai peur Svp aidez moi !!!!

96.Posté par Durand le 21/03/2014 23:44
Salut à tous, je m'appelle Marion j'ai 19 ans et depuis environ 3 ans je voi ma vie se détériorer de jour en jour. Aujourdh'ui j'en suis arrivé à me regarder dans le mirroir en me demandant qui je suis ?! Je ne me reconnait plus, je n'est plus rien de la fille que j'étais avant, sociable, drôle, attentive aux autres, bonne vivante, qui pouvait créer des liens d'amitié en moins de 2..
Enfait comme '' Héloïse '' c'est due à mon déménagement, pareil mon père à été muté, de ce fait je n'est casi plus vu ma mere pendant un an ( le temps qu'elle trouve un travail ici ) , je ne voyait plus mon frère, du jour au lenemain j'ai été coupé de mes amies, j'était aussi très amoureue d'un gars sa faisait 1 an et demie qu'on était ensemble c'était l'amour fou entre nous ( vraiment ) et il ma lacher sans m'en parler ( j'ai tout simplement plu eu de nouvelle du jour au lendemain ) j'ai vécu ca comme un abandon de sa part , j'avais vraiment confiance en son amour pour moi.. Puis dans ma nouvelle vie je m'ettait fait une bonne copine qui ma trahit, j'ai rencontrer d'autres personnes qui m'en ont également fait bavé , a mon nouveau lycée je craignait une fille dans ma classe avec laquelle je m'était accroché du coup j'ai commencer à trouver les gens d'ici vraiment trop bizarre, sans interet, egoÏstes et es fini par me renfermer sur moi, à perdre confiance... je voyait que mon père craquait lui aussi, son boulot, la nouvelle vie etc l'a bcps fait souffrir également.. du coup les relation entre moi et mon père était froide, j'appelait casi jamais ma mere.. J'ai plus tard découvert les rave party, dc qui dit rave party dit drogue, j'ai tésté ( quelque fois ) et je crois que ca ma bien grillé le cerveau, pendant un moment je ne pensait qu'a aller en rave et prendre des prod... ( chose que je n'aurrais JAMAIS faite avant : la drogue dure était qu'elque chose auxquelle je n'aurrais jmais toucher !!!!!!! )
Quand je retourne la ou j'habitait avant et que je revoit mes anciennes amies ( c'est a dire très très rarement ) je ne sait pas quoi leur dire, elles qui croient que je suit encore cette fille marrante et pleine de vie, avec qui on s'ammuse bien.. du coup j'évite de les voir, je ne leur envoie jamais de message , RIEN.


Maintenant j'arrive à peine à parler à mes parents et encore je reflaichie à tout mes mots! Le problème est là, je reflaichie tout le temps !! J'ai l'impression que tout ce que je vais dire serra ennuyeux ou que sa sonnera faux car même moi ca ne m'interesse pas... De ce fait, je n'ai plus d'ami et mes relations avec les autres sont froides, distante, quand je vais à des soirées ou que je me retrouve avec d'autres personnes je ne parlent pas et me renferme comme une huitre, par peur de parler et qu'on me trouve nulle...
Quand une '' amie '' ( rares sont elles ) m'invitent , je trouve un pretexte pour ne pas y aller car j'ai peur qu'elle me trouve nulle et qu'elle s'ennuie avec moi, qu'il y est de gros blancs toute la soirée ( donc sympas la sortie --' ) chose qui s'est déjà produite ...
Depuis septembre j'ai encore changer de lycée ( ayant eu mon bac je suis partie dans un autre lycee ou il proposait les bts que je '' voulais '' ) mais suis toujours chez mes parents , rien n'a changer quoi, j'ai une classe formidable, tout le monde est super sympas, je reste la plupart du temps avec une fille qui est vrmnt adorable mais le problème c'est que je m'enferme quand meme dans ma bulle et je ne lui parle presque pas, je ne rigole casi jamais avec elle vu que je ne sait jamais quoi dire !!! au final elle commence de plus en plus à trainer avec d'autres filles avec qui elles rigolent tout le temps .... et le pire c'est que je les trouvent géniales je me serrait super bien entendu avec elles avant, mais là je suis inexistante, je les suit come un toutou pour ne pas rester toute seule et ça commence à se voir.. je me sent mal dans cette classe au final je sèche les cours dès que je peux , je pence meme arrété le bts car je ne me voit pas refaire 1 an dans une classe ou je me sent inutile et mal toute la journéé... il m'est meme arriver d'avoir des troubles de la vision en cours tellement que j'était mal. J'ai réussi à en parler à mes parents ( sans trop les affolés je leur est dit que je voulais arrété mon bts car ca ne me plaisait pas et que je ne me sentais pas HYPER bien dans la classe , donc j'ai essayer de dédramatisé quand meme ...)

Dernier petit point ( et après j'arrête de me plaindre ^^) mais j'ai également rencontrer un gars au lycée l'année dernière et j'aimerais vraiment sortir avec , mais le soucis c'est qu'il est timide et, moi, ne sachant jamais quoi dire, ça n'arrange pas les chose --' j'ai tellement peur qu'il s'ennuie avec moi que quand je vais le voir j'ai la boule au ventre ( peur de ne pas avoir de sujet de conversation etc ) .... donc voilà je n'arrive pas à apprécier les moments et les personnes que je devrait apprécié en temps normal car je n'ai plus aucune confiance en moi et je ne sait pas quoi dire !!!!

Si je n'avais pas déménagé je ne serrait pas sur ce site à l'heure qu'il est.
Ma vie est passée du compte de fée au cauchemar et c'est horrible.
J'aimerais retrouvé la fille que j'étais il y à maintenant 3 ans, avoir une vie normale et équilibrée, avoir des amies fidèles à qui me confier, rigoler, parler avec aisance sans avoir cette boule au ventre ne serrai ce que pour répondre à un '' ca va ? '' par texto ... voilà merci à ceux qui ont pris la peine de lire ce pavé sur ma vie, " j'éspère "que des personnes se reconnaitrons dans ma déscription et je pourais en '' discuter '' ( sans la boule au ventre ^^ ) avec elles.
Merci .

ps : adresse mail pour les personnes qui veulent me parler en PV
-> marion-123456789@laposte.net

95.Posté par geoffrey le 15/03/2014 01:28
Bonjour tout le monde je m'appelle Geoffrey je viens d'avoir 15 ans et je déprime à longueur de journée car j'ai peur de ne pas réussir je suis tout le temps défaitiste j'ai peur de décevoir mes parents et par dessus tout j'ai peur de l'avenir

94.Posté par CY CNZZ le 13/02/2014 22:37
Bonjour ou bonsoir,
Alors voilà, j'ai 16 ans, cet été je suis sortie avec un garçon avec qui j'ai fait ma première fois. Cependant j'ai fait un très grosse erreur avec mon meilleur ami et une très bonne amie à moi a été au courant. Elle m'a promis de ne rien dire mais elle a appris que j'étais au courant de certaines infidélités que lui avait faites son ex petit ami mais que je ne lui avait rien dit ( étant donné que celà concernait une autre très bonne amie à moi et ma cousine), pour se venger elle n'a pas mesurer l'ampleur de ses paroles et à tous dévoilé pour ce qui c'était passé avec mon meilleur ami. Bien sur ça a été une rupture très violente 3 jours avant la rentrée cependant je me suis retrouvée dans la même classe que ce garçon et d'un grand nombre de mes anciens amis dont il avait fait plus ample connaissance durant l'été ( il ne les connaissait que de vu avant ). J'ai appris à ce moment là qu'il s'était passé quelque chose entre lui et une fille de ma classe précédente qui se retrouvait cette année encore dans ma classe et avec qui il est resté très proche . J'étais déjà achevée mais, ce garçon étant très convoité, je me suis vue toutes mes soit disant amies se retourner contre moi et me détruire par tous les moyens ( même deux en qui j'avais entièrement confiance) . Je me sentais abandonnée, même mon meilleur ami se faisait distant avec moi afin de calmer les rumeurs pour pas me faire d'avantage de tors mais il ne comprenait pas que j'avais vraiment besoin de lui . Pour couronner le tout, ma cousine, qui avait rencontré mon ex copain durant l'été lui avait beaucoup plus, suite à tout celà il a voulu se mettre avec elel et elle était prête à le faire à condition que je ne sois pas au courant alors qu'elle savait très bien dans quel état j'étais ( précisons que sont but premier était de se mettre non pas avec lui mais avec son meilleur ami et que elle l'aurait fait à la première occasion) au final ça ne s'est pas fait et toute la faute m'est retombée dessus.. J'ai perdu en moins de deux semaines une dizaine de personnes que je croyais être des amis, une amie en qui j'avais toute ma confiance et avec qui je partageais tout depuis 6 ans et toute la confiance que j'avais en ma cousine ajouté bien sur à une rupture difficile avec le garçon avec qui j'ai fait ma première fois ... Le comble étant de mettre retrouvé dans cette classe où tout le monde me plantait des poignards dans le dos à longueur de journée ...

Pendant bien deux mois ça a été l'enfer, j'étais en larme tous les soirs mais je me suis réfugié dans le sport et le travail, tous les soirs je courais une heure environ puis je bossais jusqu'à m'endormir debout, celà me permettait de ne plus penser et de tenir le coup. Je trouvais que ma souffrance était mérité, j'avais vraiment un jugement très dur envers moi même. Celui qui a réussi à me sortir de là dedans c'est mon meilleur ami. Il est revenu vers moi et m'a fait comprendre que je n'étais pas seule , que lui il savait ce que je valais et qu'il tenait à moi . Grâce à lui je m'en suis à peu près remise puis je me suis expliqué avec tous ceux de ma classe et l'ambiance s'est apaisée. Il y a eu pas mal de fête et au final avec mon ex on est revenu plus que proches,de plus, les tensions avec mon ancienne très bonne amie et ma cousine se sont apaisées.

Seulement voilà depuis quelque temps j'ai l'impression que rien ne va plus. Je ne m'intéresse plus à rien mais surtout j'ai une véritable haine. Je suis haineuse envers tout et tout le monde, je pars au quart de tour et je deviens invivable avec mes parents. Je n'arrive plus à me mettre à bosser j'ai toujours de très bon résultats mais je sais que je commences à accumuler des lacunes et que ça ne durera plus si je continues ainsi or je veux intégré une prépa dans le but de devenir vétérinaire et je sais que si je lâche maintenant ( première S) je risque de tout gâche. Je suis consciente de celà mais je n'arrive pas à réagir en conséquence. Je me sens impuissante et invisible aux yeux de tous et j'en veux au monde entier pour ça ! Par rapport à cet été, je ne me reconnais plus je suis touts à fait le contraire de la fille que j'étais. Je suis redevenue la fille qui fait tout pour ne pas se faire remarquer et se laisse écraser par les autres ( comme je l'était auparavant et c'est ce qui m'a beaucoup fait souffrir durant mes années de collège) . Je regrette tellement ma classe de l'année dernière, je n'arrive pas à trouver ma place dans cette classe qui m'a beaucoup faite souffrir ( sachant que l'année prochaine je me retrouverai encore avec cette classe à cause des options) . Je pleure souvent quand je suis chez moi, souvent après une grosse colère . Je ne sais pas comment sortir de tout ça et comment arriver à me remettre au travail sachant que je vies mes journées de cours comme de véritables tortures ...

Avez vous des conseils à me donner ?

93.Posté par Soso le 18/01/2014 01:29
bonjour, j'ai 14 ans et je suis déjà lassée de la vie. C'est à dire que je ne vois pas l'interet de vivre (je ne veux pas me suicider) mais je me demande ce que je fait la et quand je pense aux année qu'il me reste a vivre je me met a pleurer car je trouve que ma vie est inutile... Il ne se passe rien dans ma vie je m'ennuie constamment. Je pleure sans raison je me sens vide inutile... je me suis mise a fumer pourquoi je n'en sais rien. J'ai des amis mais ça ne change rien a mes problèmes ils ne savent même pas que je suis dépressive. Je ne veux pas leur dire ils ne me verraient plus comme avant la petite Sophia toujours souriante blagueuse joyeuse...Je ne veux pas de réponse mais même écrire mes problème me fait du bien...

92.Posté par Mia le 23/11/2013 23:52
Bonjour,
j'ai 14 ans et suis en 3 ème depuis quelques temps je ne me sens pas bien je suis stréssé. Mes notes baisses et je parle moins avec mes amies les conversations ne m'interresses plus, je m'ennuis pourtant j'aimerais " redevenir" comme avant, j'étais un peu la rigolote de service. De plus je suis timide enfin je crois car j'ai dus mal de dialoguer avec des gens que je ne connais pas, je me sens mal à l'aise et inférieure à eux. Pourtant petite je n'avais aucun problème à échanger avec des gens. Certains anciens amis on même dit que j'avais un peu changé. j'essais pourtant de changer mais je n'y arrive pas trop. Je me trouve moins drôle qu'avant...
Merci d'avance pour bien vouloir me répondre :)

91.Posté par pat le 15/10/2013 18:31
Depuis quelque temps je me sens mal, rien ne va j'ai l'impression de tous perdre que tous me glisse entre les doigts j'aimerai me faire entendre mais rien ne se fait.Je ne veut pas me suicider non je veux me battre car si je part je sais que je perdrai vraiment tous ma famille,mes amies,et j'ai vraiment envie de dire au garçon que j'aime que je l'aime mais pour sa il faut que je remonte la pente et je sais que vous aussi ! Alors remontant cette pente pensés au meilleurs souvenir que vous avez dites vous que vous êtes le meilleur ou la, que rien est au travers de votre chemin et pensés au personnes qui vous aiment ou qui vous a aimer au chose que vous allé perdre et avec sa on remontra cette pente ! Courage rien est perdu !

90.Posté par Romain le 01/10/2013 09:27
Bonjour je m'appelle Romain jais 14 ans et je suis dans une classe ou je n'est pas d'ami , et l'année dernière mon père a subit une opération plus tôt dur et jais été soutenus . Mais cette classe je n'est aucun ami et sa me plonge dans un profonde souffrance . Jais tout fait pour changer de classe mais rien à faire et sa fais 4 semaines que je pleure tout les soir cher moi , la plus part de mes ancien ami le vois et le demande quelqu'il ne vas pas je ne c'est pas comment leur dire que sa vas mal . Et des professeurs nous donne des devoirs communs et je n'est aucune solution pour le maître tout seul et cela me retire l'appétit sa fait deux semaine que je n'est pas envie de manger , jais même penser au suicide mais je me suis dis jais une famille qui même et et c'est a cause de 2 3 pottes qui me soûls que je vai s'acrifier ma vie . Je vais partir voir un psy pour tenter de parler et peut être chercher deux trois solution . Je pense que c'est une famille qui me manque tout les matin quand je vois ma mère partir jais une envie de pleurer , mais je repense toujours à l'école et c'est cela qui me fait pleurer mon étant toujours à la maison je me confit plus à lui et moin a ma mère mais je ne lui dis jamais tout . Si vous avez un un petit truc a me conseiler sa serais avec plaisir .
Je vous remercie d'avance .

89.Posté par Anonyme le 02/09/2013 22:37
Bonjour j'ai 14 ans et l'année derniere mes parent on divorce et ma meilleure amie ma laisse tomber pour une autre , elles ont commencer a m'insulter en ramenant toute leurs bande a la recre , toute mes autres amies mon tourné le dos a cause d'eux , elle ont monter toute ma classe contre moi , j'ai commence a passe mes soirée a pleure , mes proches savais la moitie de se qu'elles me faisait endurer , j'ai commencer a me mutiler , jusqu'a penser au suicide , meme si je n'ai jamais eu le courage de passe a l'acte , aujourd'hui je suis dans une autre classe , j'ai des amies formidable , tout a l'air d'aller bien mais pour une raison que je ne comprend pas je n'arrive pas a remonter la pente je continue a pleure tout les soirs ...

88.Posté par duvivier le 01/08/2013 23:21
Pauvre Marine en recherche d'affections et rien, père indigne

87.Posté par Marine le 05/06/2013 22:25 (depuis mobile)
J'ai 14 ans et depuis que j'ai 9 ans j'attend un je t'aime de mon pere mon pere m'insulte a longueur de tans en disant que je sui une moin que rien il dit je t'aime a mais autre soeurs je suis la seule a qui il ne le dit j'attend !!encore et je pleur

86.Posté par Oiseau-de-Pluie le 05/06/2013 15:13
"Ne pas hésiter de consulter un psychologue et de prendre des antidépresseurs" --->

Jamais entendu de telles c... J'ai 18 ans. Je suis dépressive depuis l'âge de 13 ans. Vous savez quoi, j'ai été bourrée de plein d'antidépresseurs et mêmes de neuroleptiques (qui sont pourtant destinés aux schizophrènes alors que je ne le suis pas du tout). Cela n'a jamais rien arrangé à la situation, ce ne sont que des placebos. Et vous n'imaginez pas les effets secondaires...
J'ai été hospitalisée à plusieurs reprises. Ma dernière hospitalisation date du mois de décembre 2012 et il s'agit du PIRE traumatisme de toute ma vie.
Si vous voulez les détails, j'ai posté mon récit ici : http://www.forum-depression.com/topic17610.html


Mon médecin généraliste m'avait même prescrit du Zyprexa (le PIRE des neuroleptiques, le médicament tueur qui provoque le diabète) sans ne m'avoir JAMAIS adressé la parole.
Non, non, je vous assure, il ne m'a JAMAIS parlé. Mes parents lui ont juste dit que j'étais déprimée, c'est tout, et hop médicaments. Et ce n'était qu'un généraliste hein, alors imaginez les psychiatres.
Faites attention, si vous allez mal et que vous parlez d'envies suicidaires à un psychiatre, il va vous shooter aux médocs et peut-être vous interner de force. Vous savez, avec la nouvelle loi, un psychiatre peut interner n'importe quel citoyen sans son avis ni sans l'avis de ses proches (c'est ce qui m'est arrivé !)
Et là, c'est l'enfer : enfermement, contention, parfois les chambres d'isolement avec juste un matelas au sol...

Je suis une victime des abus psychiatriques, j'en serai traumatisée toute ma vie, cela m'a enfoncé dans mon mal-être, alors je poste juste pour dire que je ne supporte plus de lire "si un jeune va mal, n'hésitez pas à consulter un psychiatre".

Consulter un psychiatre est la pire des choses à faire.

http://www.youtube.com/watch?v=F-1s6QnoKrU

(En gros ça fait 5 ans que j'ai vu une vingtaine de psys (chiatres / logues ), que j'ai été hospitalisée à plusieurs reprises, et je vais toujours aussi mal. Je vais même encore PLUS mal, car je suis totalement traumatisée par les hôpitaux psychiatriques !)

85.Posté par soso le 04/06/2013 11:44
Bonjour, Je m'appelle Sophia et j'ai bientôt 14 ans et depuis quelques temps je me sens vide triste et souvent je me m'est a pleurer sans raisons. J'ai des proches et des amis qui m'aiment j'avais commencé a me sentir mieux mais suite a un "amour" que je croyé sincère j'ai replongé et depuis je n'en peux plus. La journée je me forge une carapace mais au fond je suis fragile et j'aimerai me sortir de là. J'ai besoins d'aide merci.

84.Posté par héloise le 07/05/2013 02:31
Bonjour, je m'appelle Héloïse et j'ai 20 ans. En ce moment je suis dans un profond mal- être dont je n'arrive pas à me sortir... De mon plus jeune age à mes 14 ans j'ai eu une enfance joyeuse, des parents présents et un cercle d'amies que je considéraient comme des soeurs, j'ai grandi et vécu avec elles pendant 10 ans. Mais un jour mon père étant muté à cause de son métier de militaire j'ai du tout quitter du jour au lendemain pour une ville inconnu. J'etais a 14 ans devenu une fillette totalement seule , dans une ville que je détestais à pleurer sans cesse sur tout ce que j'avais perdu. Plus d'amies, une soeur en internat, une mere presente 2 jour sur 7 et un pere en mission en afganistan.. a 14 ans m'a vie c'est écroulé. 5 ans apres je me rend compte que je suis toujours touché par cette rupture brutale, je suis hyper sensible. J'ai récemment eu une relation amoureuse qui c'ets soldé par une rupture car mon copain m'a avoué " ne pas pouvoir se satisfaire d'une seule vie", ca m'a brisé à nouveau et ce terrible sentiment d'abandon vécu à mes 14 ans me submerge à nouveau. Je pleure tous les soirs et la journée je joue un rôle pour montrer que tout va bien. Mais cette situation n'est plus possible et je ne sais plus quoi faire pour aller bien... j'espere pouvoir avoir un peu de votre aide meme si je sais que c'est une situation très particulière. courage à tous et merci

83.Posté par momo le 19/04/2013 21:04
slt a tous je sus d tous coeur avc certains (sauf les depressifs amoureux)car il ont a peu pres le meme mal etre que moi l ennui et le degout du monde qui nous entoure malheureusement le seul moyen d en sortir ce n est pas en allant voir des psys ou d autres gens car ils rassurent sur le coup ou t file un traitement mais la deprime revient peu d temps apres Mais c tout seul quon peut peut sen sortir soit en s occupant et ne restant avec les gens qui t aiment vraiment comme la famille et le vrais potes mais ce n est surtt pas avc pas les petites amies ou ptits copains. perso etre deprime a cause d une relation amoureuse c vraiment debile donc a qui ca arrive j en ai pleinement rien a foutre parce souvent ces personnes sont egoistes parce qu ils oublient leurs vrais proches car ce qu ils ne comprennent pas c que le vrai amour c pas dans les relations amoureuses ca c la tele qui ns bourre le crane avc ces betises depuis des annees(renseignez vous ts ceux qui sont en couples dans le monde actuellement se lassent tres tres vite de leur union) le veritable amour c la famille et c aussi le don d soi et d sa personne sr ceux qui en ont besoin.la vrai vie est horrible certes mais on peut la rendre plus agreable autour de nous en etant biens avc les gens et s rendre le plus utile possible.

82.Posté par ? le 16/02/2013 17:49
Bha voilà .... J' ai 15 ans ... Et le problème c'est que je suis encore jamais sortit avec une fille ( ni avec des mecs) bref ... Je déprime : / et voilà que on a accueille une étudiante pour un échange linguistique et voilà que pendant que l étudiante parlait avec sa 'meilleur ami je suis passer pour dire bonjours (sur skype) et sa meilleur amie est vraiment très jolie et en parlant avec elle ... Elle me dit que je suis mignon et tout et tout Et ça n'arrête pas de me tourmenter vu que la seule fille pour l'instant me dit que je suis beau habite à plus de 10000 km de cher moi (c'est la merde ....) et je sais pas quoi faire vu qu'elle a 18 ans .... Je sais pas si je doit lui dire que si elle habitait ici je pourrait savoir si elle accepterait de sortir avec moi ... Et quand j'y repense je trouve sa débile et donc ça me torture.....

81.Posté par Damien le 26/01/2013 00:59
Bonjour Christophe,
Oui, j'ai des amis, mais aucun à qui me confier et aucun qui se confie à moi. Des milliers d'amis ne vaudront jamais un meilleur ami... Se faire des amis c'est une chose extrêmement difficile, je pense.
Quand on est dans une spirale infernale qui nous pousse vers le bas (comme nous le sommes) et bien, je ne vois pas comment on peut faire... Souvent, plus une personne a d'amis, plus on veut-être son ami (j'ai l'impression). Alors nous, personne ne veux être notre ami. Mettons-nous à la place des autres : ils ne veulent pas être amis avec un dépressif...
Alors, on est condamné à être des dépressifs ? Ignorés de tous ? Non, je ne pense pas, on est des gens bien, respectueux, ... y a pas de raison que ça ne marche pas. Peut-être qu'il faut être patient, et laisser le destin nous mettre de bonnes choses sur la route... je ne sais pas pour l'instant.
En tous cas, tu n'es pas seul, je suis avec toi : michel.damien0363@gmail.com
Ecris-moi, je suis ton ami.


80.Posté par christophe le 23/01/2013 20:01
merci Damien de me soutenir
mais je n'arrive pas a relevé la tète comme tu me dit tu as des amis mais personne a qui te confié.. moi je n'ai pas du-tout d'amis depuis que ma copine et partie mon téléphone ne sonne plus.. j'aimerai rencontré des gens,sortir mais je suis tout seul..
je vais sur des site de tchat pour discuté mais je sais pas rien y fais..
pourtant je suis poli, respectueux, je pense pas être un beau gosse mais je suis pas moche nanplu.. je comprend pas pourquoi j'arrive pas a me faire d'ami(e)s et je n'arrive pus a etre seul tout le temps.. j'en peut plus je sais plus quoi faire vraiment

79.Posté par Anlor le 21/01/2013 13:58
PS : SOS dépression, tu peux trouver leur numéro sur leur site internet :
http://sos.depression.free.fr/

78.Posté par Anlor le 21/01/2013 13:56
bonjoru damien,
désolée pour le retard de ma réponse.
Les consultations avec un psychologue, c vraiment simple, c un dialogue, toi tu expliques ce que tu ressens, comment tu vois les choses, ce qui t'est douloureux.. ça aide vraiment à lâcher certains mal être, à voir les choses différemment, à trouver de nouvelles resssources et à se sentir plus libre.
Pour les associations, j'en connais une qui est bien e t qui s'appelle SOS dépression. Ils ont une ligne téléphonique gratuite, avec des professsionnels qui répondent et ils pourront surement très bien t'orienter.
bon courage et bonne continuation !

77.Posté par Damien le 17/01/2013 22:19
Bonjour Christophe,

Si entre toi et ta copine c'est fini, alors laisse aller, surtout si elle ne fait pas d'effort pour t'écouter. Il ne faut pas se prendre la tête pour une personne qui ne se montre pas compréhensive. Pour l'instant tu te dis peut-être que c'est une femme super, qu'elle est unique à tes yeux, que tu ne vois pas la vie sans elle... mais laisse le temps passer tu y verra plus clair.
Mi-décembre j'ai été au plus bas (voir mes messages précédents), j'ai pas mal remonté la pente principalement en relativisant. Comme toi je suis timide, réservé, renfermé, casanier, j'ai pas de meilleur ami, j'ai des amis mais aucun à qui me confier. Je sais que je suis quelqu'un de bien, comme toi. Quelqu'un de bien finit forcément à trouver son âme soeur, j'en suis sûr. Je ne suis pas dans une meilleure situation que toi mais j'ai eu le temps de réfléchir... Il faut essayer de changer et de comprendre pourquoi ça n'a pas marché avec ton ex, il ne faut pas essayer de la récupérer, une séparation, un break, une grosse engueulade laissera toujours des traces, il faut donc considérer que c'est fini et il faut un peu se remettre en question.
Pour faire des rencontrer, inscris-toi sur un site de rencontrer sur internet, ça peut côuter un peu d'argent, mais ça permet dans un premier temps de discuter un peu, se faire des amis virtuels et pourquoi pas de vrais amis ou l'amour de sa vie...
Personnellement je suis inscrit sur Meetic, je n'en ai absolument pas honte, et je me suis fait des amies... "virtuelles", mais ça fait toujours du bien de parler. N'oublie pas qu'un timide restera toujours un timide, "chasse la naturel, il revient au galop"... fais de tes défauts des qualités, ça marchera, il y a énormément de filles qui apprécient les garçons sensibles...
Bref, ne te prend pas la tête pour ton ex-copine et passes progressivement à autre chose, progressivement.

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