Foot, samba, plage, carnaval, favelas... et après ?
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Jérémie Loevenbruck
Jérémie Loevenbruck

J'ai eu la chance d'effectuer le dernier semestre de mes études d'ingénieur à Rio de Janeiro, au Brésil... Ce blog est la publication hebdomadaire des quelques lignes que j'avais tentés d'écrire entre juillet et décembre 2009.... Elles retracent ces



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Au bout des 10 premiers jours passés il y a 2 ans à Rio, je suis revenu halluciné par ce pays ou tout semblaient heureux, dans une ville érigée sur l’un des plus beaux sites du monde. Ce cadre «maravilhosa» me faisait dire que même les plus pauvres semblaient s’accommoder de leur situation.

Ça n’est pas la vérité, vous vous en doutez bien.

Mais ce n’est qu’après pas mal de conversations, à partir d’une langue (en train d’être) apprise, de moments vécus ou observés, que l’on peut tenter de mieux comprendre. La vérité dont je parle n’est en fait qu’une opinion, des généralités qui m'apparaissent au cours de ce voyage. Elle évolueront au cours du temps, ne restez donc surtout pas sur les premières impressions...

Tags : impression rio
Rédigé par Jérémie le Lundi 8 Février 2010 à 22:35 | Commentaires (1)

Commentaires

1.Posté par André Asselin le 04/03/2011 19:23
Bonjour Jérémie.

Je viens tout juste de découvrir ce blog et j'avoue que j'ai été fasciné de voir un jeune homme aussi passionné par le Brésil.

Je suis un "vieux" de 63 ans et ton enthousiasme me rappelle le mien lorsque j'ai été travailler au Brésil en 1977/78/79. Ce premier contact enthousiasmant avec le Brésil, cet extraordinaire pays, est très compréhensible et tel que toi j'ai été subjugué par sa beauté, mais surtout par le peuple qui l'habite.

Puis petit à petit l'on découvre combien il est difficile de composer avec ces inégalités sociales qui nous sautent aux yeux et qui nous tord l'âme et l'esprit. Et l'on commence à mettre des bémols, à nuancer, à réaliser qu'il n'existe pas de paradis et que tout ce que l'on peut faire, c'est de trouver notre propre paradis à l'intérieur de soi-même.

J'ai vécu près de 3 ans à Salvador de Bahia à l'âge de 29 à 31 ans et j'y retourne régulièrement depuis. J'ai conservé, malgré toute ces prises de conscience une profonde passion et une magnifique amitié avec mes ami(e)s d'il y a 34 ans.

Je conclue en espérant que tu sauras conserver, malgré tout le cynisme qui nous entoure, cette fraîcheur devant la vie et comme vous dites en France (je suis québécois) : Bonne continuation et réussit bien ta vie.

André Asselin

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