Si j'aime sur ce blog évoquer les métiers qui émergent et les débouchés de niche, je ne peux manquer, de temps en temps, de rappeler les basiques. En matière d'emploi, les métiers commerciaux au sens large restent en effet des "valeurs sûres", et si les offres d'emplois avaient chuté de 25% en 2012-2013, l'Observatoire permanent de la fonction commerciale note une forte reprise des embauches.
Le constat est toujours le même : que ce soit dans l'industrie, les services, le commerce de gros ou de détail, les vendeurs sont quasiment incontournables pour convaincre le client, développer un centre de profit, décrocher de nouveaux marchés, etc.
Les besoins sont particulièrement forts dans le B to B et l'industrie où les bons technico-commerciaux sont particulièrement appréciés. Les offres sont nombreuses pour des profils d'attachés commerciaux de niveau bac+2/3 , d'autant que de plus en plus de jeunes choisissent de poursuivre leurs études au-delà.
Des formations courtes qui mènent à l'emploi
Conscientes des besoins des entreprises, les chambres de commerce et d'industrie (CCI) ont lancé en janvier 2010 le réseau Negoventis, qui propose justement huit cycles de formation sur toute la France dont six aux métiers du commerce et de la vente (et deux dans l'hôtellerie-restauration).
Le constat est toujours le même : que ce soit dans l'industrie, les services, le commerce de gros ou de détail, les vendeurs sont quasiment incontournables pour convaincre le client, développer un centre de profit, décrocher de nouveaux marchés, etc.
Les besoins sont particulièrement forts dans le B to B et l'industrie où les bons technico-commerciaux sont particulièrement appréciés. Les offres sont nombreuses pour des profils d'attachés commerciaux de niveau bac+2/3 , d'autant que de plus en plus de jeunes choisissent de poursuivre leurs études au-delà.
Des formations courtes qui mènent à l'emploi
Conscientes des besoins des entreprises, les chambres de commerce et d'industrie (CCI) ont lancé en janvier 2010 le réseau Negoventis, qui propose justement huit cycles de formation sur toute la France dont six aux métiers du commerce et de la vente (et deux dans l'hôtellerie-restauration).
Elles ont le mérite de s'adresser à tout public, demandeurs d'emploi, adultes et jeunes, quel que soit le niveau de formation et d'offrir une insertion professionnelle rapide : ainsi, 75% des demandeurs d’emploi qui suivent une de ces formations retrouvent un emploi dans les six mois.
Chaque formation Negoventis prépare directement à un métier :
- Vendeur conseil en unité commerciale : Niveau IV (Bac)
- Gestionnaire d’unité commerciale, option généraliste ou spécialisée : Niveau III (Bac + 2)
- Attaché commercial : Niveau III (Bac + 2)
- Responsable de développement commercial / Responsable comptes-clés : Niveau II (Bac + 3)
- Responsable manager de la distribution : Niveau II (Bac + 3)
- Responsable en commerce international : Niveau II (Bac + 3 / 4)
L'insertion professionnelle est facilitée par l'ancrage de chaque chambre de commerce dans le tissu économique local, et par les stages, les contrats de professionnalisation et les intervenants issus des entreprises.
Autres formations : privilégier l'alternance
Pour les jeunes, il faut aussi mentionner, bien sûr, les classiques formations commerciales à bac+2/3 : BTS management des unités commerciales, négociation relations clients, commerce international, le DUT techniques de commercialisation, le BTS banque, etc.
Les écoles de commerce rivalisent aussi sur ce terrain avec des bachelors (diplômes de niveau bac+3), à des coûts cependant élevés.
De façon générale, pour ces métiers de la vente, privilégiez toujours les formations professionnalisantes, et notamment les cursus en alternance (contrat d'apprentissage ou contrat de professionnalisation) qui vous permettent de forger vos armes de vendeur.
Si la vente est un passeport pour l'emploi, n'oublions pas en effet qu'elle exige des aptitudes spécifiques (bon relationnel, persuasion, nerfs solides) et même un vrai talent. N'est pas bon vendeur qui veut, quelle que soit la formation.
Lire aussi :
Negoventis lance une formation commerciale pour des spécialistes de l'industrie
Chaque formation Negoventis prépare directement à un métier :
- Vendeur conseil en unité commerciale : Niveau IV (Bac)
- Gestionnaire d’unité commerciale, option généraliste ou spécialisée : Niveau III (Bac + 2)
- Attaché commercial : Niveau III (Bac + 2)
- Responsable de développement commercial / Responsable comptes-clés : Niveau II (Bac + 3)
- Responsable manager de la distribution : Niveau II (Bac + 3)
- Responsable en commerce international : Niveau II (Bac + 3 / 4)
L'insertion professionnelle est facilitée par l'ancrage de chaque chambre de commerce dans le tissu économique local, et par les stages, les contrats de professionnalisation et les intervenants issus des entreprises.
Autres formations : privilégier l'alternance
Pour les jeunes, il faut aussi mentionner, bien sûr, les classiques formations commerciales à bac+2/3 : BTS management des unités commerciales, négociation relations clients, commerce international, le DUT techniques de commercialisation, le BTS banque, etc.
Les écoles de commerce rivalisent aussi sur ce terrain avec des bachelors (diplômes de niveau bac+3), à des coûts cependant élevés.
De façon générale, pour ces métiers de la vente, privilégiez toujours les formations professionnalisantes, et notamment les cursus en alternance (contrat d'apprentissage ou contrat de professionnalisation) qui vous permettent de forger vos armes de vendeur.
Si la vente est un passeport pour l'emploi, n'oublions pas en effet qu'elle exige des aptitudes spécifiques (bon relationnel, persuasion, nerfs solides) et même un vrai talent. N'est pas bon vendeur qui veut, quelle que soit la formation.
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