Dix nouveaux emplois, direz-vous, c'est bien peu. Certes. Cependant l'ouverture de ce gros centre de recherche est significatif du gisement d'emplois à venir dans la filière de la conversion d'énergie.
Le développement des énergies renouvelables d'un côté et la recherche d'une meilleure efficacité énergétique de l'autre poussent en effet les industriels et les chercheurs à imaginer de nouveaux systèmes pour stocker les flux d'énergie qui pourraient être produits à l'instant t et utilisés à l'instant t+10 par exemple, au moment d'un pic de demande électrique;
La plateforme qui va être créée à Toulouse veut répondre à ces enjeux dont les applications industrielles sont nombreuses. Déjà, des systèmes se développent dans le domaine des transports, notamment pour l’automobile et l’aéronautique.
Des ressources humaines mises en commun
C'est pourquoi l’INP Toulouse, pour le laboratoire LAPLACE1, Cofely Ineo (Groupe GDF SUEZ) via son entité Scle Sfe et l'entreprise CIRTEM vont unir leurs forces et notamment leurs moyens de recherche et leurs ressources humaines.
Le développement des énergies renouvelables d'un côté et la recherche d'une meilleure efficacité énergétique de l'autre poussent en effet les industriels et les chercheurs à imaginer de nouveaux systèmes pour stocker les flux d'énergie qui pourraient être produits à l'instant t et utilisés à l'instant t+10 par exemple, au moment d'un pic de demande électrique;
La plateforme qui va être créée à Toulouse veut répondre à ces enjeux dont les applications industrielles sont nombreuses. Déjà, des systèmes se développent dans le domaine des transports, notamment pour l’automobile et l’aéronautique.
Des ressources humaines mises en commun
C'est pourquoi l’INP Toulouse, pour le laboratoire LAPLACE1, Cofely Ineo (Groupe GDF SUEZ) via son entité Scle Sfe et l'entreprise CIRTEM vont unir leurs forces et notamment leurs moyens de recherche et leurs ressources humaines.
La plateforme de 2000m2 est en construction au nord-est de Toulouse sur le site Scle Sfe 3. Elle comprendra des installations spécialisées et des alimentations de forte puissance (éoliennes, panneaux photovoltaïques, batteries de stockage) qui permettront de réaliser des tests en conditions réelles avec des puissances significatives.
"L’activité née de ce partenariat permettra la création de 10 nouveaux emplois", indique le communiqué des trois partenaires, sans en préciser le contour. On imagine qu'ils vont concerner en priorité des profils d'ingénieurs recherche en énergie.
A terme, il est clair que le secteur va ouvrir de nouveaux débouchés pour des ingénieurs et techniciens, la plateforme visant clairement les applications industrielles qui intéressent notamment les gestionnaires de rés eaux ferroviaires, de distribution ou de transport d’électricité, les producteurs d’énergies renouvelables ou encore les collectivités.
"Les applications développées pourront par exemple permettre d’augmenter le trafic sur les lignes ferroviaires, de récupérer l’énergie de freinage des tramways ou encore de créer des systèmes de recharge de batteries de véhicules électriques par énergie solaire", explique le communiqué.
Des étudiants également accueillis sur la plateforme
La nouvelle plateforme accueillera également des étudiants affirmant aussi sa fonction pédagogique fondamentale.
Concrètement, le LAPLACE, laboratoire de l’INP Toulouse, mènera des recherches sur de nouveaux schémas de conversion d’énergie et mettra à la disposition des partenaires son expertise scientifique dans la conversion statique de l ’énergie électrique et les méthodes d’hybridation des sources.
Qui fait quoi ?
La PME CIRTEM réalisera leur développement technologique.
Et Scle Sfe (Cofely Ineo - GDF SUEZ) assurera leur développement industriel et leur intégration dans des systèmes complets et des applications liées.
"Une belle illustration de ce que peuvent faire ensemble un laboratoire de recherche public, une PME et un grand groupe : mettre en commun des compétences et des ressources pour répondre à des besoins de marchés porteurs"
"L’activité née de ce partenariat permettra la création de 10 nouveaux emplois", indique le communiqué des trois partenaires, sans en préciser le contour. On imagine qu'ils vont concerner en priorité des profils d'ingénieurs recherche en énergie.
A terme, il est clair que le secteur va ouvrir de nouveaux débouchés pour des ingénieurs et techniciens, la plateforme visant clairement les applications industrielles qui intéressent notamment les gestionnaires de rés eaux ferroviaires, de distribution ou de transport d’électricité, les producteurs d’énergies renouvelables ou encore les collectivités.
"Les applications développées pourront par exemple permettre d’augmenter le trafic sur les lignes ferroviaires, de récupérer l’énergie de freinage des tramways ou encore de créer des systèmes de recharge de batteries de véhicules électriques par énergie solaire", explique le communiqué.
Des étudiants également accueillis sur la plateforme
La nouvelle plateforme accueillera également des étudiants affirmant aussi sa fonction pédagogique fondamentale.
Concrètement, le LAPLACE, laboratoire de l’INP Toulouse, mènera des recherches sur de nouveaux schémas de conversion d’énergie et mettra à la disposition des partenaires son expertise scientifique dans la conversion statique de l ’énergie électrique et les méthodes d’hybridation des sources.
Qui fait quoi ?
La PME CIRTEM réalisera leur développement technologique.
Et Scle Sfe (Cofely Ineo - GDF SUEZ) assurera leur développement industriel et leur intégration dans des systèmes complets et des applications liées.
"Une belle illustration de ce que peuvent faire ensemble un laboratoire de recherche public, une PME et un grand groupe : mettre en commun des compétences et des ressources pour répondre à des besoins de marchés porteurs"