Salvador de Bahia
Jérémie Loevenbruck
A mon retour sur Salvador, je suis repassé chez Seb et Mathilde.
Apres le tour de la favela en petit train avec le soutien scolaire, quelques jours auparavant, j’ai eu la chance de savourer un suculent repas, du vin et de la viande, les deux rouges et argentins, de quoi remettre sur pieds n’importante quel gourmand amoché. Le repas se déroulait chez des connaissances de Seb et Mathilde, dans une belle et grande maison loin, très loin des favelas de Bahia. Le contraste était saisissant.
2 jours plus tard, je passe la nuit du mardi dans le centre de Bahia : le pelorinho. Je n’avais pas aimé l’endroit, 3 mois auparavant. Plein de touristes, surfait.
Il m’est apparu bien plus typique cette nuit du mardi soir. Et combien de locaux !! Comme le vendredi soir a rio, on retrouvait les nombreux concerts de forro, de samba et de MPB où tout le monde danse et boit des bières le sourire aux lèvres. Les touristes, fuyant l’endroit réputé dangereux, car typique, laissaient les locaux reprendre leur espace. Une très belle fête !
Apres le tour de la favela en petit train avec le soutien scolaire, quelques jours auparavant, j’ai eu la chance de savourer un suculent repas, du vin et de la viande, les deux rouges et argentins, de quoi remettre sur pieds n’importante quel gourmand amoché. Le repas se déroulait chez des connaissances de Seb et Mathilde, dans une belle et grande maison loin, très loin des favelas de Bahia. Le contraste était saisissant.
2 jours plus tard, je passe la nuit du mardi dans le centre de Bahia : le pelorinho. Je n’avais pas aimé l’endroit, 3 mois auparavant. Plein de touristes, surfait.
Il m’est apparu bien plus typique cette nuit du mardi soir. Et combien de locaux !! Comme le vendredi soir a rio, on retrouvait les nombreux concerts de forro, de samba et de MPB où tout le monde danse et boit des bières le sourire aux lèvres. Les touristes, fuyant l’endroit réputé dangereux, car typique, laissaient les locaux reprendre leur espace. Une très belle fête !
De retour à l’auberge, je croise 3 français, les français de voyage. Exubèrent mais dans le mauvais sens : roi du pétrole, hautin...Pas l’exubérance sympathique du brésilien qui « vie » et le fait savoir. L’exubérance de l’énergumène qui n’est pas chez lui mais qui s’y sent. Ils n’ont surement pas apprécié que je leur dise qu’ils participaient à l’entretien de ce climat de violence, au travers de leur consommation de cocaïne.